Nécessaires utopies

J’apprends ce matin en allumant la radio que, depuis 1970, près de 70 % des populations d’animaux vertébrés ont disparu de la surface de la Terre. Une « nouvelle » de plus à ajouter sur la liste des bonnes raisons de penser que le futur n’a malheureusement rien de désirable. Et si je me tourne vers mon nombril, pas de quoi se réjouir non plus. J’arrive en effet à un âge où le « futur » radote et grisonne plus qu’il ne chante et irradie ! Réjouissantes perspectives.

Et pourtant.

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